fanasmes-de-jeunesse-gay

  L'année de mes 11 ans, juste avant de rentrer en 6ème, j'ai eu mon premier "contact" avec un de mes potes. Il s'apelait Antoine, et avait le même age que moi. Malheureusement il allait déménager et nous n'allions plus nous voir. Alors forcement nous avons passé pas mal de temps ensemble, avec nos potes, pendant les grandes vacances. Un jour tous nos amis étaient occupés et nous n'étions que deux. Nous avons décidé d'aller à la rivière, là où il y a un peu de fond et qu'on peut tremper plus que ses pieds. Pratiquement personne n'y va parce que ce n'est pas accessible en voiture et un peu loin à pied. Mais comme il nous arrivait parfois nous avons décidé d'y aller ; après tout ça changeait un peu des autres recoins habituels. Arrivé là-bas on avait chaud alors on s'est mis torse nu et on a commencé à jouer au bord de l'eau. Au bout d'un moment, à force de jouer en plein soleil, nous avons déidé d'aller dans l'eau. Elle ne montait pas très haut mais atteignait tout de même la taille au point le plus profond. Alors pour ne pas mouiller nos fringues et que ça soit désagréable au retour on a gardé juste le slip. J'avais mis mon slip blanc et Antoine lui avait un boxer rouge tirant un peu sur le bordeau, une de mes couleurs préférées!  On s'est raffraichit mais on a évité de se couler pour ne pas se faire mal sur les rochers. On a essayé de faire un barrage mais forcement ça n'a pas tenu. Après s'être bien mouillé on s'est posé sur un rocher pour sécher. Et c'est là que je me suis dis que je n'allais plus le revoir et donc que je ne risquait pas grand chose à tenter un truc. J'ai donc proposé de jouer à cap ou pas cap, le perdant devant faire un gage évidemment. Et après plusieurs "épreuves" bateau je me suis jeté à l'eau et je lui ai dis : "Cap ou pas cap de te baigner tout nu!?"
- "... heu... non, j'ose pas", me dit Antoine en rougissant. "Et puis n'importe qui pourraît arriver!! De toute façon je n'ai pas perdu, il faudrait que toi tu sois cap de le faire pour que je perde" me dit-il fier de lui.
Alors je lui répondis : "Moi je peux le faire! Il n 'y a personne d'autre ici, on est trop loin. Et puis j'ai un slip blanc et il est mouillé alors tu vois tout mon zizi, comme si j'étais déjà tout nu" 

- "Oui mais je ne le vois pas aussi bien bien", dit-il en regardant mon sexe. "Alors si t'es cap fais-le!"

Je me suis donc levé, et me suis mis face à lui. Il s'est levé à son tour, son regard rivé sur ma petite queue dont il voyait déjà bien les formes. Lentement j'ai pris mon slip à deux mains, hésitant un peu, puis je l'ai baissé d'un coup.
-Tu dois l'enlever et pas le garder aux pieds, sinon ça ne compte pas" me dit Antoine dans un  dernier espoir pour ne pas perdre. Alors j'ai dégagé mon slip de mes pieds, et je l'ai jeté en direction de mes vêtments, me retrouvant totalement exposé à son regard. Et je voyais que, malgré sa défaite, il en profitait bien car il ne détachait toujouts pas son regard de mon zizi. J'étais encore jeune mais mon sexe n'était plus totalement celui d'un enfant et je savais ce que ça signifiait. C'est surement pour cela que, sous le poids de son regard intéressé, j'ai commencé à bander.

-"Mais... tu deviens tout dur!" s'exclama Antoine un sourire au bord des lèvres. Je rougis encore plus que je ne l'étais déjà, mais je repris le contrôle de la situation pour ne pas être encore plus géné et je lui dit : "peut-être mais tu me dois un gage"

-"D'accord, mais dis moi d'abord pourquoi ton sexe se lève quand tu es tout nu" demanda-t'il l'air surppris et interrogateur

-"heu.. c'est parce que... j'aime bien que tu regarde mon zizi!" dis-je en finissant précipitemment ma phrase. "Et maintenant c'est à toi de voir ce que ça fais! C'est ça ton gage, toi aussi tu dois me montrer ton zizi, parce que c'est pas juste que tu me vois tout dur et que moi je ne vois rien." annonçais-je rapidement. Etant donné que le gage portait sur le cap ou pas cap je savais très bien qu'il avait le droit de refuser et j'avais un peu peur de sa réaction car je lui en avait beaucoup dit. Aussi ce fut un grand soulagement et un immense plaisir lorsque qu'il me regarda dans les yeux et me dit :

"D'accord, je vais le faire. Mais tu ne te moques pas et tu ne dis rien!" Alors il retira son slip, offrant à mon regard un magnifique spectacl et je ne pu m'empêcher de pousser un soufflement de bonheur et d'admiration.

"T'avais promis de ne pas te moquer" geins-t'il en se cachant le sizi dans ses mains.
-"Mais je ne me moques pas" assurais-je en me rapprochant. "Pourquoi je me moquerait? Ton zizi est vraiment beau, je suis devenu encore plus dur en le voyant"
-"Tu vois bien que mon zizi est plus petit que le tiens..."
-"Mais c'est parce que je suis dur et toi non!" lui affirmais-je pour le rassurer. Je m'étais tellement approché que je pouvais distinguer son sexe malgré ses mains, et le mien frolait le haut de sa cuisse. Je posais ma main sur son épaule et continuais : "Toi aussi ça t'arrive d'être dur non?"
-"Oui, souvent"
-"Et bien si tu étais dur aussi tu verrais que ton zizi ne serait pas plus petit!!"

-"Oui, mais je ne sais pas quand ni comment je deviens dur... Alors je ne peux pas te montrer..."

-"Si tu veux je te montre ce que c'est que d'être dur et comment on le deviens volontairement" dis-je en l'attrapant par la deuxième épaule et en le ramenant face à moi. Son sexe était maintenant en face du mien, sauf que le sien était toujours caché derrière ses mains. Je me rapprochait encore plus de façon à ce que mon gland touche l'une de ses mains, et le sentant sursauter je lui dis : "Laisse moi de montrer comment on fais, d'accord?" Il acquiessa et me regarda dans les yeux. Alors je repris : "D'abord ne me regarde plus, regarde vers nos zizi, c'est plus exitant! Et ensuite laisse toi faire, je vais d'abord te montrer sur moi". Et passant de la parole à l'acte je saisi délicatement sa main gauche et vins la poser sur ma petite queue tendue. Je lui dis alors de commencer par prendre son temps pour me toucher et s'habituer. Il s'exécuta, ne lachant plus mon sexe ni des yeux ni de la main. Je lui fit ensuite prendre mon sexe avec ses doigts pour entamer un va et viens. "Tu vois lui dis-je, c'est comment ça qu'on se fait bander ; ça fait du bien alors ça devient tout dur! D'ailleurs à ce que je vois tu commences à bander aussi non? Tu aimes toucher mon zizi?? Parce que moi j'adore ça, je n'ai jamais été aussi dur...

-"Oui j'aime bien, c'est tout chaud et tout doux... C'est vrai que tu es très dur.
-"Tu peux commencer aussi à le faire sur toi avec ton autre main, tu verras c'est vraiment agréable!

-"Non..." Et à ma grande surprise il se saisit de ma main et la posa sur son sexe. "... Je préfère que ça soit toi qui le fasse! Comme ça on est à égalité" ajouta t-il dans un sourire. Alors je commençait par lui palper délicatement ses petites couilles, puis je remontait vers sa hampe qui pointait maintenant très fierement vers le ciel. Je descendit doucement sa peau pour le décalloter et passait un doigt sur son gland. Puis je commençais des aller-retour pour le faire monter, et après quelques minutes je l'allongeais et me mettais sur lui, sexe contre sexe. A ce stade il se laissait complètement faire et moi aussi j'étais prêt à faire tout ce qu'il aurait pu me demander! Je pris nos deux sexes et commençais à les branler ensemble, et au bout de quelques minutes je jouis dans un petit cri de bonheur. Antoine me suivit quelques secondes plus tard. Bien sur nous n'avions pas encore de sperme donc pas besoin de lécher ou de sortir les mouchoirs. Cependant je luis embrassais le bout du gland avbant de me relever et de l'aider à faire de même.
"Pourquoi t'as fais ça?" me demandat-il surpris.
-"Ben je ne sais pas, j'en avais juste envie! Ton zizi est tellement mignon..."
-"C'était marrant en tout cas, on pourra recommencer! Si seulement je partais pas demain..."

-"On se reverra peut-être et on pourra le refaire. En tout cas c'est entre nous, on en parle à personne!
-"T'inquiète pas, c'est notre secret"
Et sur ces mots il se pencha vers moi et m'embrassa sur la bouche.